Professeur Abbé Louis Mpala

samedi 3 mars 2012

Peut-on penser Dieu ? Est-ce une question qu’un philosophe peut à bon droit se poser ? Ne fait-il pas ici un discours sur un objet qui, - par nature, le dépasse, parce qu’il semble dépasser la raison elle-même ? Pourtant, cette question a considérablement hanté l’histoire de la philosophie, au point de lui devenir aussi centrale que celle de la connaissance. L'acte de penser implique l'argumentation dans la mesure où celui qui pense, pense pour tous et, a le souci de convaincre tous ceux qui veulent bien penser avec lui. Il faut donc écarter le "psychologisme" qui cherche à réduire la croyance en Dieu ou l'athéisme à des considérations personnelles et qui pense l'homme plutôt que Dieu. Mais avant de nous plonger là-dessus, qu’entendons-nous par penser Dieu ? Est-ce possible ? Que laisse entrevoir cette proposition : « peut-on penser Dieu ? ».

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L'homme est un être-avec  et qui est convié à partager ce qu'il a de meilleur.

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L'homme est un être-avec  et qui est convié à partager ce qu'il a de meilleur.

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Avec circonspection, il est resté au-dessus de la mêlée

Univers politique n’a pu éclabousser sa sagesse immaculée

Gardien passionné des idéaux éclairés de M’zée

Un cœur où l’élévation par trahison n’engendre que nausée

Semence de la grandeur jetée dans le sillon d’un peuple fécond

Tout germe et fleurit autour de lui dans un silence profond

Intègre prophète vénéré du voisin, de son frère ignoré

Ni vent impétueux ni temps vertigineux, rien n’effacera ce nom adoré

 

O souffrance, ô malheur, ô douleur sans cure

Rancœur d’une nation toujours endeuillée

Abime engloutissant l’espérance de tout un peuple

Inépuisable bibliothèque du Congo, tu es consumé

Seul sur  les laves chaudes du Kahuzi-Biega, tu as dressé ta tente

Otant ta vie, la mort ne t’a pourtant pas effacé, oasis de sagesse

Nous te pleurons et si nous t’enterrons, jamais nous ne t’oublierons

 

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Avec circonspection, il est resté au-dessus de la mêlée

Univers politique n’a pu éclabousser sa sagesse immaculée

Gardien passionné des idéaux éclairés de M’zée

Un cœur où l’élévation par trahison n’engendre que nausée

Semence de la grandeur jetée dans le sillon d’un peuple fécond

Tout germe et fleurit autour de lui dans un silence profond

Intègre prophète vénéré du voisin, de son frère ignoré

Ni vent impétueux ni temps vertigineux, rien n’effacera ce nom adoré

 

O souffrance, ô malheur, ô douleur sans cure

Rancœur d’une nation toujours endeuillée

Abime engloutissant l’espérance de tout un peuple

Inépuisable bibliothèque du Congo, tu es consumé

Seul sur  les laves chaudes du Kahuzi-Biega, tu as dressé ta tente

Otant ta vie, la mort ne t’a pourtant pas effacé, oasis de sagesse

Nous te pleurons et si nous t’enterrons, jamais nous ne t’oublierons

 

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A dire vrai, c’est pendant les campagnes électorales que  les électeurs sont  ramenés aux temps de la Rome antique des panem et circenses. Et personne ne se pose ces questions: « Pourquoi allons-nous aux élections dans notre pays ? Dans quel but est-il nécessaire de se mobiliser pour élire le président de la République, pour nous doter d’une assemblée et des institutions locales censées être démocratiques et traduire véritablement la volonté populaire ? »

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A dire vrai, c’est pendant les campagnes électorales que  les électeurs sont  ramenés aux temps de la Rome antique des panem et circenses. Et personne ne se pose ces questions: « Pourquoi allons-nous aux élections dans notre pays ? Dans quel but est-il nécessaire de se mobiliser pour élire le président de la République, pour nous doter d’une assemblée et des institutions locales censées être démocratiques et traduire véritablement la volonté populaire ? »

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